top of page
Elodie DURET

Pleurer comme une madeleine, ça fait du bien !


Pleurer comme une madeleine, ça fait du bien !

Vous êtes plutôt madeleine ou biscuit sec ?


Team "madeleine" : vous avez tendance à pleurer à chaudes larmes, voire comme le veut l'expression, de façon "excessive".


Team "biscuit sec" : a contrario, impossible de vous tirer une larme ! 


Oui, j'épluche cette expression sous l'angle culinaire et pas dans la référence religieuse, ça vous étonne ?


Je comprends bien que les larmes ne sont socialement pas les bienvenues !


Combien de fois avez-vous entendu "arrête de pleurer", souvent agrémenté d’un "ça n'en vaut pas la peine" ?


Mais comment peut-on savoir ce qui vaut et ce qui ne vaut pas la peine ? Existerait-il une jauge universelle du motif et du niveau de larmes adéquats ?


Si vous doutez encore de l'intérêt de pleurer, ne manquez pas ce qui va suivre !


Car les larmes ne sont ni inutiles, ni réservées aux bébés !


On commence à comprendre l'importance des émotions, à ne plus considérer qu'il y en a de bonnes et de mauvaises.


On parle souvent de « gestion des émotions », mais il s’agit surtout de les laisser s’exprimer et de comprendre les besoins qu’elles mettent en lumière.


Parce que retenir des émotions peut avoir des conséquences néfastes sur bien des plans.


Tout ce qui ne s'exprime pas s'imprime !


Au niveau physique, il existe beaucoup de clés de lecture comme la médecine traditionnelle chinoise, la kinésiologie, la symbolique des maladies, grâce auxquelles on décrypte l’influence des émotions sur les organes et les différentes parties du corps.


Lorsqu’on aborde les thématiques en relation avec l’image corporelle et les kilos émotionnels, il est courant de découvrir qu’une bedaine est une "bouée de sauvetage", que le corps volumineux aide la personne à "prendre de la place", que les formes viennent tenir l’autre à distance comme une "barrière de protection", ou encore qu'on cherche la maigreur extrême pour "disparaitre"…


Alors pourquoi pleurer fait du bien ?


Le Dr William Frey (Minnesota) a découvert par l'analyse chimique des larmes qu'elles libèrent des hormones de stress, et donc soulagent.

Evidemment, je ne manquerai pas de noter que les larmes causées par la découpe des oignons ne contiennent pas d'hormone de stress ! 🧅


Le Dr Arthur Janov, psychologue américain, a quant à lui relevé que nombreux de ses patients se libéraient non seulement de troubles psychiques mais aussi de symptômes physiques grâce aux pleurs connectés avec des souffrances anciennes refoulées. (On revient toujours à ce fameux lien coeur-corps-esprit dont je vous parlais dans un article précédent.)


La répression des émotions nuit à notre santé physique et mentale.


Alors laissons s’exprimer nos émotions, écoutons le besoin qui se cache derrière elles, enseignons-le à nos enfants...


Lorsqu’il s’agit de tristesse, de peurs, de douleurs, laissons nos larmes couler sans retenue !


Car oui, pleurer, ça fait du bien !

Au coeur, au corps, à l'esprit !

Ça en vaut la peine !


Et si l’on entend "ne pleure pas" ou "arrête de pleurer", rappelons-nous que la façon dont notre interlocuteur perçoit nos larmes lui appartient.


Nous ne sommes pas responsables de la façon dont il reçoit notre émotion, seulement de la façon dont on choisit de l’exprimer…


Alors après m'avoir lue : quelle team souhaitez-vous rejoindre ? Team Biscuit sec ou Team Madeleine ?

N'hésitez pas à venir m'en parler en commentaire !


Si ce post vous a plu, n'oubliez pas de cliquer sur le coeur.


Et si vous sentez un blocage dans l'acceptation, dans l'expression ou dans la compréhension de vos émotions, je vous invite à venir clarifier tout cela en atelier aux petits oignons !


🧅


Je suis Elodie, praticienne en Cuisine Thérapie©

J’accompagne familles, couples, enfants et personnes en quête de sens à trouver leur recette du bien-être grâce à la Cuisine Thérapie© !


Intrigué(e) ? Parlons-en lors d’un appel découverte gratuit !

28 vues0 commentaire

Comments


bottom of page